A l’approche des élections, l’opposition émanant des partis politiques comme de la société civile, avait décidé de se rassembler dans un quartier populaire de Kinshasa.
Initialement autorisée la marche aura été violemment dispersés par les autorités.

Un précédent qui témoigne d’une montée de la contestation à l’égard d’un pouvoir au bilan contestable.